lundi 30 janvier 2017

3eme Video


Rien de bien Méchant

Après 7 jours passé à Cochabamba, mon humeur change subitement, une vilaine gastro s'invite sans demander son avis et va me mener la vie dur pendant 15 jours...

Elle s'ajoute obligatoirement au sentiment d'hesitation à propos de ce voyage.
Ce voyage justement, dans lequel je commence à ne plus être dedans, à vouloir rentré....
Cette sensation si désagréable que je connais bien lors de mes précédents voyages au long cours est entrain d'arriver.

Mais nous sommes deux dans ce voyage, et pas question de rentrer quand autant d'énergie, de temps et d'argent on été dépensé dans un tel voyage sous prétexte d'un coup de moins bien.


   
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Après un bref tour chez le garagiste pour réparer la crevaison de ma roue arrière.
Nous reprenons la route vers 17h un peu inconscient.

La nuit tombe aussi vite que la température descend, au fil des kilomètres que nous avalons.

Nous nous retrouvons quelques heures après notre départ à 4500 m, de nuit, frigorifié, à rouler à 30 à l'heure derriere un camion pour nous éclairer et avoir l'illusion de se réchauffer...



La route est en travaux et tous les 500m, nous avons une bifurcation caillouteuse à prendre.

Congelé, vers 22h30, les lumières de la ville d'Oruro se rapproche à grand pas.


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Un plateau infini entouré de quelques montagnes au loins nous aide à passé cette journée un peu ennuyeuse.



En fin d'après midi, nous arrivons trempé à La Paz, cette ville qui ne cesse de s'agrandir perché entre 3500 et 4000m d'altitude.

La ville est immense, les gens y construisent des maisons ou ils le peuvent et les montagnes se font grappiller de plus en plus de place.

Un petit hotel fera l'affaire pour les quelques jours ici,
Jeremy tombe malade, fièvre et douleurs au intestins, marre de souffrir seul, j'ai été obligé de lui partager ma gastro...

Je suis malade comme un chien lorsque dans un bar à touristes, sonne le passage de l'année 2017 !



Après quelques moments de repos et visite de la ville, nous decidons de partir rouler sur l'ancienne route de la Mort.
( il y a quelques années de ça, la route reliant l'Amazonie à La Paz n'etait qu'une vulgaire piste étroite, à flans de falaise sur laquelle un traffic monstre se partageais le droit de mourir en tombant dans la ravin... )

Actuellement, cette route à été remplacé par une autre route asphalté que nous empruntons pour descendre.


3000m de descente nous font arriver dans les prémisses de la forêts Amazonienne
L'humidité omniprésente s'y fait lourd, la végétation y est forcement généreuse pour le plaisir de nos yeux.
Nous partageons le dejeuner avec un motard Anglais
              
À 16h, le premier passage de rivières effectué sans encombre de la veritable route de la Mort, nous laisse place à une piste que nous jugeons de presque agréable.
Comme tout les Boliviens, dès que le drône de Jeremy est dans les airs, c'est comme si le père Noël etait là !
Petits et grands sont émerveillé de par ce fabuleux appareils qui nous permets de faire de belles images.


Peu après avoir repris les motos, un arbre en travers de la route nous bloque le passage, une dizaine de Boliviens s'attaque à déblayer le passage avec la seule machette que tout le groupe possède.
Nous aidons autant que nous le pouvons à arracher les branches et nous faire un léger passage pour qu'au moins les voiture passent.
Au final, un très bon moments passé avec des locaux souriants et enthousiasmé d'avoir des Occidentaux pour passer le temps.

La fin de la route s'effectuera dans la pénombre après quelques passages tout proche du précipice ( pas si la mort que ça finalement )


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En attendant l'arrivée du Dakar à La Paz,  le lac Titicaca est au programme des 3 prochains jours, nous y allons en empruntant une magnifique piste à 4000 m.


A la sortie d'un " Ferry Bolivien" pour passer de l'autre coté de la presqu'ile de Copacabana, la chaine d'equilibrage de ma moto fini par derailler, la moto produit de fortes vibrations inconfortables et le moteur deviens plus bruyant..
Nous terminons quand même de nuit et nous prenons une auberge.




Plan A: mettre un nouveau moteur
Plan B: Réparation mais cher.

Pour agrémenter un peu tout ça, j'ai une légere fièvre et toujours les intestins en vrac...

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Nous rentrons sur La Paz le jour d'après, des flaques de boues énorme sont à la limite de bloqué les routes, mais pas pour les Boliviens apparemment, car ils s'engagent sans hésitater dans les nombreuses flaques qui parcourent notre chemin.




Nous nous amusons à suivre leur trace en levant les pieds au niveau du guidon pour ne pas avoir les jambes boueuses...

Dans l'après midi, un garagiste accepte de nous réparer la moto pour la modique somme de 280 euro....
J'hésite un moment face à une telle somme mais j'accepte ayant un peu le couteau sous la gorge.

Grâce l'énergie dévastatrice de ce garagiste feignant, nous ne resterons que 10 jours sur place pour un travail qui peut se faire en une simple journée....

Nos journées sont ponctué de visite de la ville, randonnée à 5100 m sur une montagne proche de la Paz, regarder les concurrents du Dakar traversé la ville et pour finir rencontrer des amis de Christian.







Nous passons une après midi entière chez le garagiste pour l'obliger à travailler sur ma moto.
Suite à ça, ma moto est prête, elle vibre toujours mais le bruit du moteur semble correct.

En route vers le Pérou !
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 À la frontière Boli-Péruvienne, le policier Bolivien nous signal que nous n'avons pas de tampon entré sur le passeport...
Au yeux de la loi, nous sommes illégal depuis notre arrivé en Bolivie, il y a plus d'un mois...

Il nous laisse quand même passé au Pérou sans nous mettre le tampon sortie.


Ouf, sauvé !


Au poste d'immigration du Pérou, on nous demande d'ou l'on viens.

- De Bolivie Monsieur

- Vous n'avez pas de tampon ?

- c'est une longue histoire...

- vous étiez illégal !? vous devez avoir le tampon sortie !


Peu à peu je me rend compte dans quelle merde nous nous retrouvons, si aucun des deux pays ne font d'effort, nous sommes contraint à rester dans le No'man'land que représente un vulgaire pont ou subsiste un traffic incessant de triporteur à vélo transportant divers marchandises.

Retour au poste Bolivien, le policier nous fait entrer dans le bureau du responsable...

- vous compter revenir un jour en Bolivie ?

- non, c'est plus la peine.

- très bien, alors vous devez payer une amende ( equivalent à  30 euro )


Finalement, nous nous en sortons très bien !

20 min après nous sommes dans la presque légalité pour rouler au Pérou ayant tout les papiers nécessaires pour être irréprochable au yeux de la loi.

Il ne nous manque qu'un insignifiant petit papier qui peut nous coûter cher... l'assurance des motos.
Mais vu que nous sommes jeunes et con, nous decidons de ne pas payer une fortune pour les assurer et laisser du piment au voyage et ainsi peut être vous raconter une autre petit anecdote dans le prochain article.

Changement de pays, changement de money, changement de paysages.






Le Pérou apparait moins sec que son voisin, et pour nous expliquer pourquoi, la nature nous apporte un orage d'une extrême violence lorsque nous somme à l'abris d'un restaurant de Puno tout proche du lac Titicaca.

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L'arrivé pluvieuse à Cuzco met nos morals encore à rude épreuve.

Avec la proximité du Machu-Picchu, Cuzco est La ville est la plus touristique d'Amérique du Sud.
Nous y retrouvons le motard Australien Glenn rencontré à UYUNI un mois plus tôt.




Visite du musée Incas et de quelques Eglises coloniales.


Nous n'apprécions pas être pris pour un blanc juste là pour son fric...
Au risque d'en décevoir plus d'un nous decidons de ne pas allez au Machu-Picchu qui s'avère beaucoup trop touristique et beaucoup trop cher à notre gout.

Marre de ce climat frais et humide qui nous accompagne depuis 3 semaines, nous prenons

La direction des dunes de la cote Péruvienne.

La route y est somptueuse, si ce n'est la plus belle route de notre voyage mais aussi la plus dur...





Un jour après avoir quitter Cuzco, nous sommes contraint de remonter en Altitude et de traversé un long plateaux à 4200m....

froid, pluie, neige, brouillard, pénombre


C'est complètement trempé que nous arrivons dans le village de Puqio " village élu en 2015 comme étant le village le plus glauque du monde " et qui ferait passé les villages minier du Nord de la France que de veritable clubs de vacances...
Nous ne savons pas si nos tentes auraient éte plus humide que l'hôtel ou nous essayons de faire sécher nos affaires par l'opération du saint-Esprit.

Nous serrons les dents encore quelques heures le lendemain matin pour redescendre en Altitude.

Ça y est nous sommes enfin revenu dans le desert à 400m au dessus du niveau de la mer.

L'air y est chaud, les peaux plus bronzé, les traits moins tiré et les gens moins habillé.

Quel bonheur de rouler dans ces conditions !


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Après ces quelques jours difficiles, nous decidons de nous accordé du bon temps et ainsi rester quelque jours à l'Oasis d'HUACACHINA .

C'est dans ces dunes que nous allons faire des tours de buggy, du ski et snowboard sur le sables.




Le retour à Valparaiso est prévu dans 15 jours, et nous sommes obligé de revoir nos plans au sujet l'Argentine, nous faisons l'impasse à cette option par manque de temps, et decidons de Visiter Lima ( capitale Peruvienne ) et de descendre jusqu'a Valparaiso par la suite.


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Le choc est encore immense entre le nord et le sud, dans le quartier sud ou nous sommes, les gens roulent en 4x4 derniers cris sur des grandes avenues propres bordés de grands immeuble neufs et de grandes enseignes, tandis que le nord se dispute des rues poussiéreuses jonchés de trous bordé de petites habitations sales...

Le centre ville y est beau avec une jolie architecture coloniales.



Demain nous reprenons la route plein sud !

jeudi 29 décembre 2016

Cap des 3000 kms !

La route déserte, montant pleins nord se dessine devant nous.

Ces quelques jours à la Serena nous ont fait un peu oublier la route. Et c'est pourquoi nous avons autant de facilité à ouvrir nos yeux émerveillés par ces paysages aussi arides.

Nous avons décider d'accélérer un peu la cadence vu le peu de kilométrage réalisé suite au problèmes mécaniques de la premiere semaine.

Après une bonne journée de 440 km, pleines de paysages vide de vies comme pourrait l'être la lune, nous bifurquons à droite sur une piste cabossé dans l'espoir de trouver un lieu de bivouac..

500m plus tard, ma chaine déraille, la vrillant instantanément suite à la perte du joint de ma couronne..
Par chance, nous somme à deux pas d'un endroit ou le village de pêcheur à proximité, utilise comme decharge.
Après quelqueq recherches à la lueure de nos frontales, nous trouvons un petit caoutchouc au dimension quasi exacte de ma couronne arrière, nous reparons le problème et changeons la chaine.




Lors des deux jours suivant, nous avalons plus de 900km de désert qui nous rapproche de la frontière Bolivienne







Nous grimpons avec des motos pas encore trop capricieuse à une hauteur de 3200m, et roulons sur un immense plateau encore quelques temps, pour tenter de trouver un abri protégé du vent pour y poser les tentes, la derniere nuit à été froide et venteuse.

Le paysage aussi magnifique soit-il ne me réchauffe pourtant pas, je suis frigorifié, le soleil se couche et nous sommes toujours à la recheche d'un abri...



Un village à moitié en ruine apparait à quelques kilomètres, je claque des dents.
Nous installons le campement dans la gare délabré sans toiture du petit village de San Pedro, dans ces moments là, un endroit qui peu sembler inconfortable se tranforme en un vrai lieu de paix.

La nuit se dissipe peu à peu, il a fait frais cette nuit, nous reprenons la route qui se transforme en piste de sable, jonché de trous et de taules ondulés, les motos rebondissent, la poussière pénètre partout où elle peut et les moteurs souffrent.
Après 1h à alterner pilotage et prières pour que les motos tiennent le coup, nous retrouvons le bitume délivrant.
Le paysage est surnaturel.
Des lagunes et volcans nous entourent, seul au monde sur cette route dementiel.
Le bleu intense du ciel contraste avec la couleur sombre des volcans crachant de la fumée pour certains.

Nous n'en croyons pas nos yeux tellement la beauté de ce paysages nous subjuges, je me fait le serment que si ma moto rend l'âme après le salar d'Uyuni, je ne serais pas attristé car ça aura valu le coup de venir jusqu'ici



Le passage de frontière se passe sans encombres, et c'est avec un visa de 90 jours et une autorisation temporaire pour les motos que nous roulons sur une magnifique piste Bolivienne à pas moins de 4000 m d'altitude.




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Quelques profondes tranchés sur la piste, terminent le boulot du passage delicat de ce matin et l'un des amortisseur de Jeremy decide de cassee sans aucune réaction de notre part, ce n'est qu'au chargement du lendemain matin que Jeremy s'en rendra compte..

Nous arrivons au premier village important après la frontière à 160 km de celle-çi.

Ce village assez vivant, ne degage pourtant aucuns bruit, même les chiens qui jouent en se bagarrant, ne dégagent seulement qu'un peu de poussières.
Les motos fatigués autant, si ce n'est plus que ceux qui les pilotes, nous font forcément remarqué par leurs bruits rauque.

Nous sommes exténué, les bivouacs, les 1500 km en 4 jours, la piste d'aujourd'hui plus l'alitude, mettent les corps à rude épreuve.

Nous trouvons un petit hotel et nous nous écroulons littéralement..
   
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Uyuni, ce nom me fait rêver depuis au moins une dizaine d'années, est enfin à quelque coups de gaz.

À une centaine de mètres de la ville, le second amortisseur de Jeremy casse exactement comme le premier pourtant remplacé le matin même..

Nous trouvons un ferailleurs qui nous fait une soudure sur chacun d'eux.

Un occidental curieux de nos motos garé sur la rue principal d'Uyuni commence à discuter avec nous, c'est un motard Australien qui voyage seul depuis 5 ans dans toute l'Amerique du Sud.
Il nous conseil l'hotêl où il est actuellement car il est possible de rentrer les motos dans la cour.

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Nous retrouvons nos premiers touristes depuis longtemps, avec la proximité du Salar, Uyuni est un lieu touristique, c'est ici que beaucoup de jeunes occidentaux commencent leur tour de plusieurs jours dans le Sud Lipez, à 6 ou 7 dans un 4x4.....  

Malgré le tourisme, la ville garde son charme, un peu poussiéreuse avec toutes ces rues qui débouchent sur nul part.

La journée du lendemain est consacré au désert de sel situé à 30 km d'Uyuni qui à fait la réputation de cette ville.

Nous pensions arriver à Disneyland avec une foule de touristes et un péage exorbitant pour y acceder, mais rien de tout ça..
Juste une piste désagréable nous ammène sur le  Salar.


Je n'en reviens pas, je réalise un de mes rêves les plus fou !
Rouler sur le Salar, accompagné de mon meilleur ami est une joie immense.

Nous profitons de ce champ de visoin énorme pour faire quelques images et decidons de rouler en direction de l'ile d'Incahuasi à 80 km d'où nous sommes.

1h30 de pur bonheur plus tard, nos yeux voient se rapprocher une légere coline. 
Nous faisons le tour de l'Ile et grimpons à pied à son sommet !

Trop gourmand pour le coucher de soleil, nous nous faisons rattraper par la nuit, et roulons une bonne heure avec l'aide de la lune et des phares de nos motos.

Quelle journée exeptionnel !

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L'idée de rester quelque jours de plus à Uyuni ne nous déplait pas. Et c'est un ainsi que nous reprenons 3 nuits d'auberge de plus. 

Nous rencontrons deux francais, avec qui nous partageons une visite du cimetière de train à proximité d'Uyuni

Avec Glenn ( le motard Austalien ) avec qui le courant passe très bien, nous decidons de retourné sur le Salar pour lui faire quelques images de Gopro et de drône pour son plus grand bonheur.



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Nous reprenons enfin la route après 4 jours passé à Uyuni.
Le décor change du tout au tout, passant d'un plateau à perte de vue à un relief montagneux




 La route est d'une incroyable beauté, autant par ces paysages que par la qualité de son asphalte.

Nous nous régalons comme jamais dans ses virages en lacets.

Quelques 200 km plus loin, nous arrivons dans la ville minière de Potosi à 4000 m d'altitude.

La ( montagne ) mine, visible depuis la ville continue de donner ce qu'elle a de plus precieux, entre autres 90 minéraux reparti dans 180 mines toujours en activité qui on fait la richesse des Espagnol au temps des colons et malheureusement seulement que de quelques Boliviens..
Elle continue de faire vivre des familles entières car 10 000 mineurs creusent encore presque quotidiennement.



Nous fêtons mes 26 ans dans quelques bars et Karaoké de la ville et goutons leur Alcool local écoeurant ( tisane chaude de vin blanc premier prix mélanger à de la limonade )
J'en ai encore des relents...

Après 15 h de cuvage nécessaire, nous partons visiter la ville.

Le lendemain, nous passons la journée à visiter la Mine, impressionnante.


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Encore une route splendide ponctué de paysages montagneux et de routes en lacets

La prochaine ville au programme est celle de Sucre, la capitale de Bolivie !
La ville comme Potosi, est entouré de montagnes.
Rien d'exitant à raconter après une bref visite de la ville à pied.


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Le mal de mer me guette à la fin des interminables virages en lacets pour quitter la capital Bolivienne.

Nous sommes à 1500m d'altitude, il fait lourd et chaud pour notre pause du midi où nous nous restauront dans un petit village sur la route.


30 minutes plus tard, quelques locaux, peuvent observer deux guignols faire la course sur une magnifique route en lacets...

Bonne idée au niveau du plaisir mais pas autant d'enthousiasme pour les moteurs..

La moto de Jeremy, n'a presque plus puissance et nous decidons de la laisser refroidir à l'ombre pendant que nous préparons l'explosion de la dynamite ( Bolivienne ) acheté quelques jours plutôt à Potosi pour seulement 3 euro.

Au final, un peu deçu du rendu même si la préparation nous a bien fait rigolé !

La moto démarre correctement et semble avoir repris de la puissance.
Nous repartons tranquillement dans un passage plus humide et montagneux avec quelques lacs sur les cotés de la routes.









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Arrivé à Cochabamba le jour même, à 20h dans les bouchons n'etait pas non plus une bonne idée..
Les moteurs bouillonnent, impossible de ce refroidir.

La ville grouille de vie à 2 jours de Noël et le traffic s'en ressent, près d'une heure pour faire 10 km.


L'été dernier, Jeremy avait rencontré Christian, un Bolivien qui etait en France pour ces études, et qui avait gentiment proposer de nous héberger dans sa ville lors de notre voyage à moto.

C'est donc vers 21h, que nous rencontrons dans le nord de la ville, Christian et sa copine.

Il nous héberge gentiment dans un de ses appartement. Quelle chance.

7 jours durant, nous resterons à Cochabamba, occupé à visiter la ville, faire une randonnée, passer Noél avec la famille de sa copine, suivie d'un anniversaire et de quelques soirées.... Des moments magique de part leur exclusivité !